Dans un esprit d’expression artistique et de collaboration, le projet « Il n’y a pas d’heure pour danser » prend son envol dans le département du Tarn, rassemblant des passionnés de la danse de tous niveaux et des artistes professionnels pour une aventure chorégraphique unique.
Porté par plusieurs Maisons des Jeunes et de la Culture (MJC) implantées à Gaillac, Labruguière, Tecou, Saint Sulpice, Vielmur sur Agout, dans le Tarn, et à Pont des Demoiselles à Toulouse, ce projet novateur offre une plateforme de création et d’expression à une soixantaine de jeunes âgés de 12 à 20 ans.
Rendez-vous le 9 mars à la Salle Multiculturelle de Técou.
Une immersion dans la danse
Le projet se déploie à degrés variables : trois MJC ont réalisé leur création chorégraphique en atelier régulier et annuel, trois autres MJC se sont inscrites dans un projet plus éphémère, en créant un nouveau groupe et en totalisant environ dix heures de travail intensif avec un intervenant artistique extérieur. Cette approche permet non seulement de valoriser l’effort, la constance et l’engagement des jeunes danseurs-ses, mais aussi de favoriser la diversité des approches artistiques au sein du projet. En effet, les chorégraphies vont des danses contemporaines en passant par le free jazz, des influences hip hop jusqu’au modern jazz.
Accompagnement professionnel
Pour guider et inspirer les jeunes talents, « Il n’y a pas d’heure pour danser » offre un accompagnement professionnel de haut niveau. Les artistes de renom tels que la Compagnie INO, Stéphanie Fuster ou encore Léa Pérat de la Compagnie Humanum, ainsi que des professeurs de danse prêtent leur expertise et leur passion pour la danse afin de soutenir et d’enrichir le processus créatif des jeunes participant-es.
L’expression artistique comme vecteur de développement personnel
« Ce projet incarne véritablement l’esprit de la danse comme vecteur d’expression, de partage et de développement personnel. Nous sommes ravis de voir ces jeunes danseurs s’épanouir dans un environnement artistique aussi stimulant », déclare Marie-Pierre Poitevineau, directrice de la Fédération départementale des MJC du Tarn.
Un impact durable dans le paysage artistique local
« Il n’y a pas d’heure pour danser » promet non seulement de ravir les spectateurs lors des représentations avec un équipement professionnel, mais également de laisser une empreinte durable dans le paysage artistique local, déjà très réputé pour son ancrage blues. Cette initiative audacieuse réaffirme l’importance de la danse comme un langage universel, capable de transcender les barrières et de rassembler les individus autour d’une passion commune.